Les étoiles du berger – première partie

pour Régine, mon bonheur

Dans le hameau de Lafertaz, qui a disparu depuis dans la Grande Avalanche il y a si longtemps que même pour la grand-mère de mon grand-père, Lafertaz n’était plus qu’un nom gravé sur la pierre où se dressait une croix en fer forgé, vivait un berger qui ne savait pas lire. Rien d’extraordinaire à cela : tout le monde sait qu’on n’a pas besoin de savoir lire pour garder les moutons. Ce qui est extraordinaire, c’est l’histoire de ce berger-là. Enfin, quand je dis extraordinaire, je me flatte un peu. Disons que si elle vous distrait un moment, vous et les petits, en attendant le retour de votre mari, je n’aurai peut-être pas volé la soupe que vous m’offrez de si grand cœur. Lire la suite « Les étoiles du berger – première partie »

Et un oratorio de Haendel, c’est pas un paris-brest !

pour la Belle Gaëlle, qui n’en demandait pas tant

Mon ami Jean-Baptiste m’a envoyé, après la lecture de l’article « Comment reconnaître une tarte aux quetsches d’un quatuor de Beethoven ? », ces deux vignettes extraites de la bande dessinée Les Sept Boules de cristal, qui illustrent d’une part qu’Hergé avait parfaitement saisi le sens originel du mot formidable, et d’autre part que Jean-Baptiste est bien le plus fidèle et le plus attentif de mes lecteurs, comme il s’en targue régulièrement :

© Casterman & JBB Lire la suite « Et un oratorio de Haendel, c’est pas un paris-brest ! »