Un péripatéticien nous écrit

Au siège social d’Astrieste, où une brigade de sémillantes sténodactylos ne vole pas son généreux salaire — et je ne vous parle pas de la convention collective —, est parvenue il y a peu une missive dont l’auteur s’autorise, non sans quelque intrépidité, le tutoiement à mon égard. Lire la suite « Un péripatéticien nous écrit »

Mélanges poétiques

Dans l’article Muse en brème, j’ai qualifié le poète irlandais William Butler Yeats d’« inénarrable et abscons ». Je me suis aperçu par la suite que je pensais en fait à Algernon Swinburne, sans le moindre semblant de début de raison valable pour confondre les deux. J’ai modifié en conséquence le passage coupable.

Je prie les usagers de ce blog de bien vouloir m’excuser pour la gêne occasionnée.